Nora

.:. Nom, chevalier de ... .:.

.:¤Identité¤:.

Nom: Wellyn
Prénom: Nora
Rang: Chevalier de la Scène
Age: 21ans
Sexe: Féminin
Mots de passe : Validé par Eris

.:¤Goût¤:.
Symbole ou objet fétiche: On ne peut pas vraiment dire que c'est un objet fétiche, mais Nora ne se sépare jamais d'une petite chaine en or à son poignet.

Aime: Elle aime les bonnes choses, autrement dit : le cidre, les fraises, les bonbons et le chocolat !

N'aime pas: Elle déteste les légumes, les petites bêtes, et surtout s'ennuyer ! Lorsqu'elle n'est pas en train de servir des clients, elle s'occupe dans les autres salles de l'auberge, buvant avec les autres chevaliers ou s'entrainant.

.:¤Camps et combat¤:.
Groupe: Chevalier de Dyonisos
Style de technique(s): En concentrant son cosmos dans ses mains, Nora arrive à créer une illusion donnant l'impression à ses ennemis de la voir en triple ou plus selon l'adversaire, tout ses "doubles" suivant exactement les mouvements de "l'original" comme plusieurs miroirs. Cette technique lui servant surtout à se défendre en créant le doute chez ses ennemis.
Objet(s) particulier(s): Une bouteille de cidre ? Après tout qui a dit qu'on ne pouvait pas se faire plaisir en combattant ?
Armure: Armure du cidre

.:¤Description¤:.
Physique: Nora est de taille moyenne, environ 1mètre 68, et fait à peu près son âge. Elle a de longs cheveux blonds qu'elle attache souvent pour ne pas être gênée, et de grands yeux bleus. Son teint est pâle, ses paummettes rosées, voir complètement rouges quand elle est bourrée ou qu'elle ait bien rigolé. Comme elle est serveuse, elle porte généralement un chemisier et une jupe blanche, avec un tablier noir par dessus. Et, pour changer et être un peu original, elle met souvent une cravate rouge bordeau et un serre-tête avec un petit chapeau noir (et ruban blanc) dessus (le ridicule ne tue pas comme on dit...).

Caractère: Comme la plupart des chevaliers de Dyonisos, Nora est très joyeuse et a un petit faible pour l'alcool, surtout le cidre. Plutôt extravertie, elle aime beaucoup plaisanter avec les autres et faire des c*nneries. En général, elle n'est pas très discrète et ne passe pas vraiment inaperçue (sauf lorsqu'il s'agit de la véritable nature de l'auberge...). Derrière son apparence de serveuse, elle est une chevalière dévouée à Dyonisos et reste proche de certains chevaliers. Son gros défaut reste de ne pas être assez méfiante et cela l'empêche de prévoir certains problèmes, même si ceux-ci restent rares.

.:¤Passé¤:.
Histoire:
C'était le bordel ce soir : l'auberge était "fermée" exceptionnellement et, comme à chaque fois qu'il n'y avait aucun visiteurs, on s'était tous retrouvé pour une sacrée soirée. "Tous" ? Oui, tous les chevaliers de Dyonisos (ou une bonne partie d'entre eux), y compris moi. Et je devais ma présence dans cette auberge à un chevalier bien plus fort que moi, un chevalier immortel, rencontré par hasard (ou pas) dans une auberge il y a trois ans. A ce moment là, j'était serveuse, mais mon patron trouvait toujours quelque chose à me reprocher, et surtout le fait que je ressemblais plus à une "cliente" qu'à une serveuse. Et un soir, un homme que je ne connaissais pas, rentra dans l'auberge. Il avait l'air d'avoir déjà bien bu avant de venir, marchant jusqu'à la table libre la plus proche de lui. Il me demanda du vin et je lui rapporta en m'installant à sa table (d'habitude je le faisais qu'avec les clients qui me connaissaient bien mais là, ma présence n'avait pas l'air de le déranger alors, pourquoi pas...). On discuta pendant un bon moment, et on avait déjà bu deux pichets de vin quand un client commença à plomber l'ambiance à l'autre bout de la salle. Comme je voyais que l'autre serveuse ne se décidait pas à régler le problème, je me levais et j'avançais (difficilement vu ce que j'avais bu ce soir là) directement vers la table du fouteur de m*rde. Je lui demanda, calmement et avec mon sourire habituel, de se calmer ou de sortir prendre l'air. L'homme me dévisagea avant d'éclater de rire avec les deux gars qui étaient avec lui. D'apparence, on pouvait comprendre qu'ils ne me prenaient pas au sérieux, ils étaient trois et moi j'avais bu un peu de trop. Essayant de garder mon sérieux (pas facile après avoir bu plusieurs verres...), je me mis alors à débarrasser leur table, pour leur faire comprendre qu'ils devaient partir. Mais, quand je pris leur pichet dans mes mains, celui-ci se brisa, me blessant légèrement. Sauf que, contrairement à ce que l'on pourrait croire, je n'avais pas voulu qu'il éclate (si j'y avais vraiment mis toute ma force j'aurais compris mais là on ne pouvait pas vraiment dire que c'était le cas)... Il avait vraiment éclater tout seul ou presque (enfin ça c'est ce que je croyais à ce moment là, avant d'apprendre bien plus tard que cet incident avait été en partie dûe à mon cosmos que je ne savais pas encore maitriser). Et le pire c'était que ce genre de truc m'arrivait souvent quand je devais régler ce genre de problème, sans même savoir comment ça arrivait (je finissais même par me demander si les pichets de cette auberge étaient vraiment de bonne qualité...). Tout le monde se retourna sur nous, et le gars devant moi se leva de sa chaise, prêt à faire sa crise pour que je le laisse tranquille et que je lui resserve à boire. Mais avant qu'il ne le fasse, l'air était devenu presque pesant et l'inconnu avec qui jamais longuement parler s'était levé de sa chaise, et nous faisait face à l'autre bout de la salle. Il laissa ses mains sur le bord de sa table pour se soutenir (avec tout ce qu'il avait bu c'était compréhensible) et se mit à rigoler. Pensant qu'il se fouttait de sa gu**le et qu'il le défiait, le fouteur de m*rde s'avança vers lui, cherchant à se battre. L'inconnu lui faisait toujours face, grand sourire aux lèvres, les mains posés sur sa table. Et, une fois que l'autre se trouva assez proche de lui, tout ce qui se trouvait sur la table de l'inconnu (pichet et verres compris) se brisa à son tour. Cet incident installa le silence dans toute l'auberge, personne ne pouvant expliquer ce qui venait de se passer. Seul l'inconnu souriait toujours, enlevant alors ses mains de la table et les croisant devant lui. Après un court instant, l'imb*cile qui avait voulu se battre repris ses esprits et préféra se diriger rapidement vers la sortie, entrainant ses deux amis derrière lui. L'inconnu les suivit du regard jusqu'à ce qu'ils aient tous franchis la porte, puis repris sa place sur sa chaise, comme si rien ne s'était passé. Mais cet incident avait réussi à faire fuir plusieurs clients et à attirer l'attention du patron, qui m'invita généreusement à rendre définitivement mon tablier (et à ramasser les dégats que j'avais causé, selon lui, au passage). Quelle belle affaire... Je me retrouvais maintenant sans emploi et sans logement puisque je logeais dans l'une des chambre au dessus de l'auberge. Après avoir récupéré mes affaires, je quittais l'auberge et j'avais une petite surprise qui m'attendait à la sortie : l'inconnu de tout à l'heure qui m'avait aidé à perdre mon emploi (comme si j'avais eu besoin qu'il casse tout ce qu'il y avait sur sa table aussi pour me débarrasser de l'autre c*n...) m'attendait, ivre. Il me proposa de faire la route avec moi jusque la prochaine auberge que l'on trouverait sur notre route et j'accepta (après tout un peu de compagnie ne me ferait pas de mal). On rigola toute la soirée et après avoir été boire un dernier verre on loua deux chambres dans une auberge trouvée au hasard. Le lendemain, l'inconnu (dont je ne connaissais toujours pas l'identité), se décida à parler des incidents de la veille.
- Tu casses souvent des pichets ?
- Quelques fois, oui...enfin je veux dire non ! Je ne le fais vraiment pas exprès.
L'homme rigola et me répondit en souriant :
- Les pichets ne se cassent pas tout seuls... Par contre on peut les y aider.
- Ouai bon... Ils sont peut-être de mauvaise qualité... Si vous avez une meilleure explication je vous écoute.
Il se contenta de sourire, et de boire son verre de vin (à croire qu'il ne buvait que ça et à n'importe quelle heure), puis changea de sujet :
- Tu ne me croiras peut-être pas mais je travaille dans une auberge moi aussi, enfin si on peut dire... Tu pourrais toujours venir avec moi, mais il faudrait que je te prépare à l'entretien d'embauche et ça prendrait du temps... On ne peut pas vraiment dire que le patron accepte de nouvelle recrue tous les jours. Mais avec de l'entrainement, je suis sûr que tu en est capable et tu correspond à la plupart de ses critères. Et puis, je suis en partie responsable de ton licenciement alors laisse moi t'aider. Ca m'étonnerait que tu le regrettes.
Entrainement, recrue, entretien d'embauche... Tout cela ne me disait vraiment rien (j'pensais pas qu'on attendait beaucoup d'exigences d'une serveuse maintenant...). D'un autre côté je n'avais plus d'emploi (et oui en partie grâce à lui), et on ne pouvait pas vraiment dire que beaucoup d'auberges recherchaient des serveuses (surtout des serveuses qui cassent les pichets et qui font fuir les clients).
Alors, après avoir réfléchis, j'avais finalement accepté, pour ne plus le regretter... Trois ans après ce qu'il avait appelé "la préparation à l'entretien d'embauche" (et qui était en réalité un entrainement pour devenir chevalier de la scène de Dyonisos), j'étais serveuse dans cette auberge très spéciale...

Bienvenue!

Je vais être sincère: ta fiche correspond à ce que j'attends d'une fiche de présentation. Et ce n'est pas parce que je te connais que je dis cela.

Bon eh bien, il ne reste que le nom de ton armure et le tour sera joué.
A moins qu'Arès n'ait quelque chose à en redire.

J'aime beaucoup l'histoire et je te félicite. ^^

Merci

Validé.

Voila, c'est tout, emballé c'est pesé. Ben quand y a pas grand chose à dire, y a pas grand chose à dire.

Tonton Arès n'est "poa" content. =3 Il peut rien dire de mal. @_@

Parce que la fiche est bien. =3